44000

Capitale historique de la BRETAGNE

Nom Breton : NAONED

« Compagnons de la Libération« 

« Croix de Guerre »

Région administrative :

Pays de la Loire

Département : Loire-Atlantique

Code postal : 44000

Population : 277 728 habitants

Habitants : Nantais

Superficie : 6 519 hectares

Altitude : 8 mètres

Cours d’eau :la Loire, l’Erdre, la Sèvre Nantaise, la Chézine, le Cens.

Blason : Il reproduit le sceau du conseil des bourgeois de Nantes-

De gueules au vaisseau équipé d’or, habillé d’hermine, voguant sur une mer de sinople mouvant de la pointe et ondée d’argent, au chef aussi d’hermine.

L’hermine bretonne symbolise la capitale des ducs de Bretagne.- le bateau rappelle la vocation portuaire de Nantes.

NANTES

 est jumelée avec

CARDIFF (Pays de Galles)

JACKSONVILLE (Floride – USA)

SAARBRÜCKEN (Allemagne)

SEATTLE (Washington – USA)

TBILISSI (Géorgie)

Généralités historiques :

Arrivée des Celtes entre 500 et 100 av.J.C.

Création de Corbilo, port fluvial à l’embouchure de la Loire (selon l’historien Polybe en 147 av. J.-C.).

Vers 70 av. J.C. Les Namnètes, peuple gaulois, occupent la région de Nantes à Angers.

Condivicnum, capitale de la tribu gauloise des Namnètes, sur la route de l’étain, devint une importante cité administrative et commerciale avec l’occupation romaine.

En 56 av. J.C., César bat les Vénètes, peuple voisin des Namnètes, dans une bataille navale entre la presqu’île de Rhuys et Le Croisic

La cité gauloise des Namnètes devient en 50 av. J.C.une civitas soumise sous Jules César. Nantes est Portus Namnetus

Dès la fin du IIIe siècle, le christianisme fut introduit par saint Clair, évêque en 275 et deux jeunes martyrs, Donatien et Rogatien.

Avec les premières invasions saxonnes vers 285, la ville s’entoure de remparts.

Elle subit² au Ve siècle les invasions saxonnes. Les Francs envahissent Nantes.

Arrivée des Bretons au Ve et VIe siècle, chassés des îles britanniques par les Anglais et les Saxons.

Au VIème Saint Félix, évêque de Nantes a une action déterminante pour la ville. Il crée le port.

Nominoë est proclamé roi des Bretons en 842.

Dès l’année suivante, la ville est prise par les Normands et l’évêque saint Gohard tué dans sa cathédrale.

En 937 seulement, Alain Barbe-Torte chassera les envahisseurs et fondera le duché de Bretagne.

Mais sa mort marque le début des luttes entre comtes de Nantes et de Rennes pour la souveraineté de la Bretagne.

Hoël, comte de Nantes et de Cornouailles devient duc de Bretagne en 1066.

En 1154, Le duc Conan IV abandonne Nantes à Henri Plantagenêt, comte d’Anjou, qui vient d’accéder au trône d’Angleterre

Pierre de Dreux, dit Mauclerc, duc en 1213, choisit Nantes pour capitale mais doit se défendre contre le Plantagenet Jean Sans-Terre d’Angleterre ; il agrandit le château bâti par Guy de Thouars et fortifie la ville.

Après les guerres de Succession et la victoire de Montfort sur Charles de Blois, le duché devient puissant et le commerce du port de Nantes s’intensifie.

Fondation de l’université en 1460, création de nombreuses écoles et construction du nouveau château ducal. Lorsque Charles VIII voudra annexer la Bretagne, il se heurtera à une forte résistance du duc François II, dernier Duc de la Bretagne indépendante qui décède en 1488. L’armée bretonne vaincue à Saint-Aubin-du-Cormier en 1488, la duchesse Anne (née en 1477 au château de la Tour-Neuve), par ses mariages avec Charles VIII , entré dans Nantes en 1491, puis avec Louis XII en 1499, apporte la Bretagne à la France, en lui conservant son autonomie de « pays d’Etat ».

C’est en 1532, au château de Nantes que François 1er, marié à Claude de France, fille d’Anne de Bretagne et de Louis XII, proclamera par le Traité de rattachement de la Bretagne à la France l’union officielle et définitive.

Dès le XVIe siècle, et surtout au XVIIIe siècle, l’essor de la cité fut considérable. La bourgeoisie était représentée par un Conseil de Bourgeois, puis une municipalité. La mairie de Nantes est crée en 1559.

Les guerres de Religion apporteront peu de troubles, Nantes passe à la Ligue en 1576-77 et prirent fin avec l’Edit de Nantes signé en 1598 au château par Henri IV. qui s’écria en entrant dans la cour du château « Ventre saint gris !, mes cousins de Bretagne ne sont point de petits seigneurs ! »

En 1661 Louis XIV est à Nantes, le super intendant Fouquet est arrêté et emprisonné au château.

Révocation de l’Edit de Nantes par Louis XIV en 1685.

Le marquis de Pontcallec dont la conspiration a échoué, est exécuté place du Bouffay en 1720.

La faculté de droit est transférée à Rennes en 1735.

Entre 1760 et 1780, les murailles de la ville sont démolies.

La Chambre des comptes de Bretagne construite entre 1762 et 1770, abrite l’actuelle préfecture.

De 1775 à 1783, la guerre d’Amérique provoque un essor économique considérable, et des opérations commerciales entre Nantais et Insurgents américains  Passage à Nantes de Benjamin Franklin en 1776

La Révolution y fut plus mouvementée qu’ailleurs avec les sinistres noyades organisées par le représentant en mission Carrier du 20 octobre 1793 à février 1794.

En 1793, les Vendéens échouent devant Nantes. Cathelineau est tué place Viarme (29 juin).

Le général François Athanase Charette de la Contrie sera fusillé le 29 mars 1796 place des Agriculteurs (aujourd’hui place Viarme) après avoir été emprisonné au château, transformé depuis le XVIIème siècle en prison d’Etat, puis en arsenal.

Naissance de Jules Verne le 8 février 1828, sur l’Ile Feydeau.

Le XIXe siècle, amorce des grandes transformations urbaines pour améliorer la circulation : rattachement des îles Feybeau et Gloriette, modification du cours de l’Erdre.

La première liaison Nantes-Paris par chemin de fer à lieu en 1851..

Aristide Briand naît en 1826, Arsène Saupiquet s’installe à Nantes en 1877.

Le pont transbordeur d’une portée de 141 m, conçu par l’ingénieur Ferdinand Arnodin, construit en 1903, fut démoli en 1958 au terme de plus de 10 000 traversées Il permettait d’une part de franchir la Loire au centre de la ville, et d’autre part de laisser passer les grands mâts des bateaux à voiles de l’époque. Il fût démoli en 1958

Début des comblements des bras de la Loire en 1926,

 Le port et « la navale » :

Vers 1700 Nantes devient le premier port marchand du royaume.

Le commerce de Nantes avec les Indes et l’Europe puis le commerce triangulaire avec l’Afrique et les Antilles (ou trafic de bois d’ébène (traite des noirs)) permit l’édification de fortunes gigantesques notamment dans l’armement.

Triste passé de la ville de Nantes et de son port, qui, de 1706 à 1832, auraient représenté plus d’un tiers de la traite française. De 1706 à 1791, 450.000 esclaves Noirs seront embarqués sur des bateaux nantais, chiffre auquel il faut ajouter les voyages plus ou moins légaux qui ont lieu de 1815 à 1832. Les Nantais considéraient le trafic triangulaire comme une entreprise honorable, et l’un des maires de l’époque estimait même qu’il pouvait être bénéfique pour le continent Noir puisqu’il permettait de limiter la démographie…

Né en 1730, le chantier Dubigeon est un rescapé du temps des charpentiers de navires : il trouvera sa place successivement à l’emplacement de la Bourse, sur les bords de la Chézine, et à Chantenay dès 1760. C’est d’ailleurs le chantier de Chantenay qui va négocier à son avantage le tournant technologique de la propulsion à vapeur.

L’abolition de l’esclavage, le blocus continental, de nouvelles industries amenèrent le déclin du commerce. De plus, avec l’ensablement de la Basse Loire, les gros navires ne pouvaient plus y accéder.

C’est pourquoi dès 1837, le Conseil général et le Ministre des Travaux publics choisissent Saint-Nazaire pour avant-port de Nantes. En 1856, le premier navire arrive dans le bassin à flot de Saint-Nazaire. Les infrastructures portuaires qui sont présentes à Saint-Nazaire permettent aux constructeurs nantais d’ouvrir des ateliers de réparation Navale dès le début des années 1860.

Puis en 1881 est créé l’établissement nantais des Ateliers et Chantiers de la Loire, qui comprend quatre cales, et est spécialement adapté à la construction de bâtiments légers comme les sous-marins ou les cargos de moyen tonnage. Il dispose de plus d’ateliers de mécanique pour construire des machines marines à vapeur et des chaudières, et une école d’apprentissage est fondée en 1900 pour former des dessinateurs en construction Navale et du personnel de maintenance, Enfin en 1895 c’est au tour des Ateliers et Chantiers de Bretagne (ACB) de faire leur apparition, forts de trois cales de lancement et d’ateliers de chaudronnerie. Ils décident de se spécialiser dans la fabrication des torpilleurs et de bateaux à destination des colonies.

En 1916, les Chantiers de la Loire prennent le contrôle des Chantiers Dubigeon,

Les Chantiers de la Loire et les chantiers de Bretagne fusionnent en 1961 et donnent naissance aux Ateliers et chantiers de Nantes.

En 1965,  les Ateliers et Chantiers de Bretagne gardent les ateliers de mécanique et de chaudronnerie, et la moitié de leur effectif. Dubigeon absorbe leur division Construction Navale et reprend 1.300 salariés : il n’y a plus qu’un seul chantier naval à Nantes. Le 2 octobre 1986 a lieu le dernier lancement, celui du Bougainville, et enfin le 3 juillet 1987 intervient la fermeture du site.

Chacun a à l’esprit la figure emblématique du Belem, fleuron de la marine à voile française, construit en 1896 aux Chantiers Dubigeon alors situés au bas de Chantenay, et qui revient encore aujourd’hui s’amarrer au Quai de la Fosse et faire revivre la mémoire de la Navale nantaise…

Aujourd’hui Nantes est la septième ville de France.

Métropole d’équilibre, le complexe portuaire (Donges-Saint-Nazaire et autres) se situe au quatrième rang des ports français.

Son université rétablie en 1962 fixe une population jeune et active.

L’Académie de Nantes couvre toutes les disciplines à côté des écoles nationales, telles que pêcherie, agronomie, marine marchande.

Nantes se veut tournée vers l’avenir ; sa démographie ne cesse de croître, sa superficie s’étend toujours.

Cependant la ville a conservé ses vieux quartiers et des témoignages de son passé chargé d’histoire.
La ville a été médaillée « Compagnons de la Libération » par le Général de Gaulle.

La plus grosse cloche du monde commandée pour la cathédrale de Chicago, fondue à Nantes début 1999.

Particularités :

Vestiges de l’enceinte gallo-romaine, près de la porte Saint-Pierre et dans l’ancien couvent des Cordeliers .

Porte gallo-romaine dite du Bastion de Saint-Pierre. Sigillées paléochrétiennes.

La ville se compose de deux quartiers anciens (médiéval et XVIIIe siècle) et d’éléments modernes.

Quartier ancien : secteur sauvegardé.

Quartier du Pilori . Place Mellinet . Place Royale fin XVIIIème siècle.

Place Graslin en hémicycle.

Château des ducs de Bretagne XVe siècle et vestiges XIIIe siècle ; ceinture de fossés avec douves, pont-levis et son système à bascule XVe siècle ; tours XVe siècle dont celle des Jacobins (gargouilles et mâchicoulis) ; grosse tour du Fer-à-Cheval (courtine) ; chemin de ronde (mâchicoulis et échauguette) ; cour intérieure avec voûte d’entrée : puits à la margelle sculptée ; grand logis (lucarnes à gables, pinacles et tour) ; autres corps de logis XVIIe et XVIIIe siècles. Porte Saint-Pierre : bâtiments XVe siècle contigus à la porte et cheminées de la même époque .

Bâtiment dit « la Psallette » XVIe siècle : tourelle d’escalier à pans coupés, porte flamboyante en encorbellement.

Préfecture XVIe siècle .

Vieilles rues bordées de vieux logis, dont on retiendra en particulier : le quartier du Pilori , ensemble de maisons XVIIIe siècle ; cours pavées Saint-Pierre et Saint-André avec leurs maisons de bois ou d’ardoise, sculptures sur façades XVe et XVIe siècles ; maison XVe siècle rue des Carmes ; rue Sainte-Croix et ses maisons à colombage ; rue de la Bâclerie ; place du Bouffay ; 9 rue de la Juiverie : maison XVème siècle ; place du Maréchal Foch : hôtels Saint-Pern (portail, de Montaudonin (façades et toitures) ; rue de Strasbourg : ancien hôtel de Saint-Aignan XVème et XVIème siècles ; autres hôtels XVIIe et XVIIIe siècles (Rosmadec, de Monti, de Rézé) ; Hôtel de ville en partie XVIIème.

Quartier des armateurs XVIIIe siècle : bâtiments XVIIIe siècle, façades intéressantes, ferronneries, sculptures en bas-relief. Place du Commerce : Bourse XVIIIe et XIXème siècles ; place de la Bourse : nombreux hôtels XVIIIe siècle ; théâtre Graslin 1788, incendié en 1796, reconstruit en 1808 : façade XVIIIe siècle, style grec ; place Graslin : brasserie « la Cigale »: décoration intérieure XIXe siècle Art nouveau ; cours Cambronne , maisons à pilastres et balustres XVIIIe siècle ; place du général Mellinet : 8 hôtels Charles X ; quai de la Fosse : maisons d’armateurs XVIIIe siècle, hôtel Durbé dû à Rousseau XVIIIe siècle, n° 70 siège de la Compagnie des Indes ; maisons intéressantes aux allées Brancas, Cassard, Flesselles, Turenne, Jean Bart ; 5 rue de l’Ile-Gloriette : hôtel Deurbroucq XVIIIe siècle ; place de la Petite-Hollande et rue Kervegan dans l’Ile temple du Goût XVIe siècle, allée Duguay-Trouin ; 13 rue Dobrée : hôtel Garreau ; palais Dobrée XIXe siècle et manoir Jean V XIVe siècle ; musée des Beaux-Arts, 1 rue Clemenceau : façades, toitures et escalier d’honneur XIXe siècle. Château du Grand-Blottereau : décor intérieur, grille d’entrée ; parc et jardins.

Manoir de La Hautière constitué de 3 vieilles maisons .

Château des Dervallières : fuie et zone de 17 m autour.

Propriété de La Houssière en partie.

Passage Pommeraye, galerie marchande 1843 : 3 galeries couvertes d’une grande verrière.

Ancienne usine Lefèvre-Utile 1885. Lancement du « Petit beurre » Lu en 1887.

Les anciennes îles sont maintenant rattachées à la ville : île Feydeau bâtie au XVIIIe siècle incluse dans le vieux Nantes ; île Gloriette ; île de la Prairie-du-Duc et autres « prairies » (Biesse, Amont, Aval) ; deux ponts relient le bourg aux îles Beaulieu et Cheviré et traversent la Loire.

Nombreux châteaux surtout XIXe siècle, sur le territoire de la commune. Statue de sainte Anne près du musée Jules Verne ; point de vue sur la ville.

La cathédrale, les églises et chapelles :

Cathédrale Saint-Pierre-et-Saint-Paul 1434 gothique flamboyant , endommagée en 1944, incendiée en 1972, restaurée : façades et tours XVe siècle, nef et transept XVIe siècle, voûtes et croisillons XVIIe siècle, choeur et chapelle fin XVIIe siècle ; façade à trois portails à voussures et chaire extérieure, décoration de la nef, nombreuses statues ; tombeau de François II et de son épouse XVIe siècle avec leurs statues et autres sculptures ; gisant XVIe siècle de marbre blanc, hauts-reliefs XVe siècle, retable Renaissance ; verrière de F. Chapuis 1959, la plus grande d’Europe ; vitraux contemporains ; crypte romane XIe siècle et crypte XIXe siècle sous le choeur ; orgue XVIIe siècle : noyau central du buffet XVIIIe siècle ; orfèvrerie XVIIIe siècle. Eglise Notre-Dame-du-Bon-Port XIXe siècle.

Eglise Saint-Nicolas 1844 néo-gothique : clocher 85 m de haut ; mobilier néo-gothique , tableaux XVIIe siècle. Presbytère de Saint-Nicolas, vestibule voûté, escalier et porche néo-ghothiques . 

Eglise Saint-Clément XIXe siècle : clocher de 80 m.

Eglise Sainte-Croix, remaniée au XIXe siècle : façade et portail 1685 ; tour surmontée d’un beffroi et grosse cloche dite La Bouffay XVIIe siècle ; mobilier XVIIIe siècle ; murs des

bas-côtés couverts d’ex-voto à Notre-Dame-du-Bon-Secours.

Eglise Saint-Jacques-de-Pirmil origine XIIe siècle : choeur , abside , chapelle.

Eglise Saint-Donatien : style roman byzantin, crypte avec tombeau des deux jeunes martyrs ; chapelle Saint-Etienne : vitrail du chevet XVe siècle. Chapelle des jésuites (hôtel de Briord) XVIIIe siècle.

Eglise moderne Saint-Emilien : Vierge XVIe siècle, couronnée en 1954.

Eglise de l’Immaculée-Conception : intérieur gothique XVe siècle.

Autres sanctuaires XIXe siècle ou modernes (Saint-Dominique, Saint-Laurent, Saint-Luc, Saint-Jean-Baptiste…).

Chapelle de l’Oratoire dans l’hôtel Lelasseur XVIIème siècle .

Ancien couvent de la Visitation : porte d’entrée XVIIIème siècle et cloître .

Ancienne chapelle Notre-Dame-de-Bonsecours .

Chapelle de l’Oratoire, dans l’hôtel Lelasseur .

Chapelle Saint-Etienne à Saint-Donatien .

Les musées :

Musée des Beaux-Arts, rue G.-Clémenceau.

Musée des Arts décoratifs et d’art populaire régional et musée des Salorges (château des Ducs).

Musée Thomas Dobrée, place Jean V : coffret du coeur d’Anne de Bretagne, manuscrits, incunables, enluminures, émaux, armes, faïences, pièces d’orfèvrerie. Trésor de la cathédrale.

Musée de la Psallette.

Musée de Nantes par l’image.

Musée Compagnonnique au manoir de La Hautière.

Muséum d’histoire naturelle, 12, rue Voltaire.

Musée de l’automobile (La Jonelière).

Musée Jules Verne.

Musée de l’Imprimerie.

Musée Naval.

Musée de la Poste des Pays de Loire. Musée des Jouets anciens.

Planetarium.

Escorteur Maillé-Brézé, ancien escorteur de la Marine nationale, quai de la Fosse.

Maison de l’Erdre, Ile de Versailles.

Maison des hommes et des techniques.

Sites :

Rives de l’Erdre. Site de la ville sur la Loire au confluent de l’Erdre et de la Sèvre.

Ile : cascades, plans d’eau, jardin japonais.

Vallée de l’Erdre.

Ruisseaux aux vallées pittoresques.

Serres tropicales du Grand-Blottereau.

Jardin des Plantes, créé en 1688 : serres XIXème siècle.

Jardin des 5 Sens (Ile Beaulieu).

Parc de Procé.

Parc de La Gaudinière.

Parc floral et roseraie de La Beaujoire.

Parc de La Chantrerie.

Sources :

http://bzh.44.free.fr

http://www.loire-france.com

http://www.structurae.info/fr